28 octobre 2011
Par la fenêtre de la salle de réunion
Par la fenêtre de la salle de réunion
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24 octobre 2011
Station service
Station service
Digicode
Digicode
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Les photos d'aujourd'hui ont été faites avec mon tout nouveau Panasonic LX5. J'ai décidé d'acheter cet appareil parce que depuis que j'ai monté l'objectif 25 mm (équivalent 50 mm) f 1.4 sur mon GF1, celui-ci ne tient plus dans ma poche. Il me falais donc quelque chose d'un peut plus compact tout en gardant une bonne qualité d'image lorsque je sort sans mon sac photo. Comme son grand frère, le LX5 est réglé pour enregistrer un fichier RAW et un jpeg noir et blanc.
Le développement du fichier RAW a été effectué dans UfRaw et the Gimp. Enfin quand je dis avec UfRaw, il n'a reconnu que la photo cadrée horizontale. Les verticales ont été recadrées en carré. J'ai du utiliser le logiciel fourni avec l'appareil, Silkypix, pour développer les RAW. A ce sujet une petite remarque, je commence à en avoir un peu marre de ces logiciels propriétaire qui ne reconnaissent que les appareils avec qui ils sont vendu. Heureusement que la version 3.1 de Silkypix fournie avec le LX5 reconnait aussi le GF1. J'aimerai bien que les fabricants se mettent d'accord une fois pour toute sur un format RAW universel, le DNG par exemple. D'autant que DNG Converteur ne reconnait pas encore les RAW du LX5 ni du GF1. Donc un conseil, n'achetez jamais un appareil tant que le, ou les, logiciel que vous avez l'habitude d'utiliser ne reconnait pas les fichiers RAW. Les fabricants finiront peut-être par comprendre si plus personne n'achéte les derniers modèles...
Enfin bref, j'ai commencé par la photo horizontale dans UfRaw. Il me permet d'ajuster l'exposition globale et, surtout de caler la balance des blancs. Il y a un bug dans le firmware du LX5 lorsqu'on prend une photo à la fois en RAW et jpeg noir et blanc, les images RAW tirent sur le vert. La tonalité doit donc être ajustée dans le logiciel de développement RAW.
Pour les photos verticales, j'ai fais les mêmes opérations dans Silkypix avant d'enregistrer le fichier en jpeg et de quitter le programme.
Ensuite l'image est ouverte dans the Gimp. J'applique le script-fu jp's Shadows & Highlights de Jean-Pierre Bucciol. Ce script permet de jouer sur la saturation des couleurs, le calage des hautes et basses lumières et sur le vignettage. Chaque réglage se fait en jouant sur l'opacité des différents calques.
Ensuite, après aplatissement de l'image et sur une copie du calque de fond, le passage en noir et blanc se fait souvent par une simple désaturation, la répartition entre les couleurs ayant été faite précédemment. Mais il reste possible d'utiliser le mixeur de canaux pour jouer sur les couches rouge, verte et bleu.
Je passe ensuite par les niveaux pour régler les niveaux extrêmes de sortie à 3 et 252, pour éviter les blanc et noir purs, et, éventuellement régler le gris moyen. Puis j'applique une courbe dont la forme dépend de la répartition de l'histogramme. En règle générale je remonte la courbe sur le début de la cloche coté blanc et je la descends de l'autre coté, mais tout dépend de l'image.
Enfin, une accentuation de contraste local est appliquée.
Pour terminer, l'enregistrement se fait en jpeg de qualité maximum (100%). La mise à la taille de publication pour le web, la suppression des métadonnées et l'application du filigrane sont effectués dans XnView.
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Autour de chez moi
Toutes ces drnières photos ont été traitées directement d'après les fichiers jpeg. Juste pour voir. Et je trouve le résultat plustôt sympa...
13 octobre 2011
Passage à niveau
Passage à niveau
Carrier
Carrier
Carrier
Tas de sable
Tas de sable
Tas de sable
Tas de sable
Tas de sable
Tas de sable
Bateaux
Bateaux
Bateaux
Nature morte
Nature morte
Fouilles
Fouilles
Fouilles
Fouilles
Fouilles
Bonjour Oscar !
Observatoire
Observatoire
Observatoire
Sur l'autoroute du retour
Sur l'autoroute du retour
Sur l'autoroute du retour
08 octobre 2011
Réflexion sur le choix d'un appareil
J'aimerais revenir ce week-end sur mes choix en terme d'appareil photo et mon désaccord par rapport à ce qu'on entend ou lit ici ou là, sur l'Internet ou dans les revues.
Réflexion sur le choix d'un appareil
J'ai déjà écrit un papier sur mes choix d'appareils et le pourquoi j'utilise actuellement un Panasonic GF1. Or il se trouve que je suis tombé, il y a deux ou trois semaines, sur ebay sur un Leica M8.2 avec un summicron-M 1:2/35mm ASPH, équivalent à un 50 mm du fait du facteur de réduction de 1.3 du capteur, à un prix tout à fait abordable et à moins de 200 km de chez moi. Facile de faire un aller-retour en voiture pour le voir et, éventuellement, l'acheter. En plus j'avais l'argent pour... Le M8 a été particulièrement décrié lors de sa sortie, pourtant c'est un très bon appareil et il le reste encore aujourd'hui. Il n'est que de lire quelques papiers tels que celui-ci ou ces deux autres disponibles sur l'excellent site de Steve Huff, celui de Steve Huff lui-même ou celui de Robert Chisholm. Je suis particulièrement d'accord avec eux, cet appareil correspond bien à ma façon de photographier, donc je me suis sérieusement posé la question. Est-ce que j'ai besoin de remplacer mon GF1 par un M8.2 ?
Réflexion sur le choix d'un appareil
COMPLICATION ET TAILLE DES REFLEXS
Les réflexs numériques sont de gros appareils, lourds et très sophistiqués. Comme l'étaient les derniers modèles de réflexs argentiques motorisés. Pourquoi les constructeurs n'ont-il jamais proposé des réflexs plus simple moins sophistiqués et, surtout, moins encombrant et moins lourd ? Pour avoir trainé avec moi jours après jours un D200, et un D80 avant lui, mon dos me dit merci d'avoir craqué pour le GF1.
Je regarde mon Fujica AX1, argentique, posé sur une étagère. Un réflex 24x36 mm basique, pas de motorisation, pas d'autre automatisme que la priorité à l'ouverture, la seule dont j'ai besoin, avec son 50 mm focale 1.9 et mise au point manuel. J'imagine que les photographes de sport ont besoin d'autre chose, mais pour les paysages, les photos de rue, les portraits, les photos d'ambiance, qui a besoin d'autre chose ? Pas moi et, je pense, pas grand monde. Des photographes comme Bernard Plossu ou Stéphane Duroy utilisent ce type d'appareil, sans parler de tous ceux qui continuent à utiliser des Leica. Ils n'ont pas besoin d'autre chose et les résultats sont ce qu'ils sont, souvent extraordinaire. Alors oui, je retrouve ce type de plaisir avec le GF1.
Rééflexion sur le choix d'un appareil
FORMAT DE CAPTEUR
Une chose m'a toujours surprise avec le numérique, c'est le discours comme quoi il faut absolument avoir un capteur de format 24x36 mm. Toutes les évolutions marquantes des appareils photo se sont toujours faite par ou avec une réduction de la taille de la surface sensible. Lorsque Leica inventât le 24x36 mm, le standard était au film 120 (56x56 mm) depuis le début du XXème siècle qui avait lui-même remplacé les plaque de verre de 200x300 mm. Pourquoi l'apparition des capteurs numériques, et leur évolution depuis, n'entrainerais pas à nouveau une diminution du format "standard" ? Je vous renvois vers cet article de Gianni Galassi qui détaille cette vision. En gros, il considère que l'équivalent "plein format" en argentique, le 24x36 mm est le format 4/3 actuel. J'y ajouterais les capteurs APSC, les deux étant tellement proche que les différences sont infimes. Le 24x36 mm numérique étant l'équivalent du moyen format argentique, etc. Même raisonnement en descendant en taille de capteurs.
On a l'habitude de dire que plus un capteur est petit, moins il est performant aux hautes sensibilités. C'est vrai, mais a-t-on réellement besoin de monter à des sommets de 3600 ISO ou plus ? Avec les zoom standards qui ne proposent qu'une faible ouverture, peut-être, même si je ne suis pas d'accord avec ceux qui soutiennent qu'on peut compenser une faible ouverture d'objectif par une augmentation des ISO. Une photo faite à focal 5.6 et 800 ISO en sera pas la même que celle faite à focal 2.8 et 200 ISO. La vitesse étant égale. Avec le GF1, j'ai situé ma limite d'utilisation en noir et blanc à 1250 ISO, la même limite généralement admise avec les Leica M8 et M9, d'autres vont jusqu'à 1600. Les résultat de rendu sont équivalent aux T-MAX, TRI-X ou à la HP5 que j'utilisais en argentique. Ces pellicules pouvaient être poussées mais était généralement utilisées à 400 ASA. L'augmentation des possibilités d'utilisation en basse lumière qui me sont ainsi offertes me satisfont pleinement. Je n'ai pas besoin de plus.
Réflexion sur le choix d'un appareil
DEFINITION DU CAPTEUR
Le plus important me semble être la définition du capteur en fonction de sa taille. Pour un capteur 4/3 ou APSC, et en l'état actuel de la technologie, je pense qu'une définition d'environ 12 Mégapixels est un bon compromis. Pour un 24x36 mm, 18 à 21 Mégapixels semblent suffisant. Il est intéressant de remarquer que Canon a réduit la résolution de son G12 par rapport au précédent G11, tous les deux avec des petits capteurs, en revenant à 10 Mégapixels, même si je trouve cela encore trop pour cette taille de capteur, 6 Mégapixels seraient suffisant. Mon Leica Digilux 2 avec son capteur 1/2.3'' prèsente une résolution de 5 Mégapixels. Cela me permet de faire de magnifiques tirages 21x28 cm. Je préfèrerais qu'il dispose de 6 Mégapixels, mais est-ce réellement important ? Ai-je réellement besoin de tirages plus grands ? Avec le GF1 je fais rarement des tirages plus grands et, en tout cas, jamais au-delà de 30x40 cm. Qui le fait ? Quand j'entends des personnes me dire qu'elles ont absolument besoin de 14 Mégapixels dans leur compact et qu'elles font tirer leurs photos en 10x15 cm par un labo minute ou sur leur imprimante de bureau, je me dit que le marketing fonctionne bien... Moins de pixels leur permettrait d'avoir des photos plus propres aux ISO élevés dont ils ont souvent besoin vue la faible ouverture de leurs objectifs.
Réflexion sur le choix d'un appareil
OBJECTIFS
J'ai toujours préféré les focales fixe à forte ouverture. Sur mon Nikon D200, et sauf rares exceptions ponctuelles pour répondre à des commandes, je n'utilisais que le 35 mm (équivalent 53 mm) et le 50 mm (équivalent 75 mm) tous les deux à focale 1.8. Mes zooms étaient tous à ouverture constante 2.8.
Avec le GF1, j'ai longtemps utilisé le 20 mm pankake (équivalent 40 mm) focale 1.7. Cette longueur de focal est un peu courte pour moi. Je ne suis pas un photographe de reportage au 35 mm ni un photographe de paysage au 24 mm. J'ai donc acquis le 25 mm (équivalent 50 mm) focale 1.4 que j'utilise le plus souvent à pleine ouverture. De plus cet objectif est estampillé Leica ce qui signifie, si j'ai bien tout compris, qu'il a été dessiné et contrôlé par Leica même s'il est construit industriellement par Panasonic. Je fais 99 % de mes photos avec cet objectif.
Je suis parfois tenté par le 45 mm (équivalent 90 mm) focale 2.8, lui aussi estampillé Leica. C'est une longueur de focale intéressante pour le portrait et certaine photos où il est impossible de s'approcher. Mais j'en fais tellement peu que j'ai toujours retardé son achat. Peut-être un jour... Et puis j'aime beaucoup les portraits au 50 mm, il faut s'approcher du modèle, avoir un contact qui me semble très important pour la photo résultante.
Divagation ou réflexion sur le choix d'un appareil
LE GF1 EST-IL L'ULTIME LEICA ?
Depuis le début de ce papier je parle de Leica. Vous pourriez penser que je suis attiré par cette marque pour la marque, ce n'est pas le cas. Je pense à ces appareils pour ce qu'ils pourraient apporter à ma manière de photographier. Je ne suis ni un un geek, ni un fétichiste. Je suis juste quelqu'un qui pratique la photographie et qui sait que la philosophie de Leica peut lui apporter quelque chose dans sa pratique quotidienne.
Le premier test du Panasonic GF1 que j'ai lu était celui de Luminous Landscape. Il partait à Paris avec un GF1 et un Leica M9 et en profitait pour tester les deux en même temps. Il effectuait évidement une comparaison. Quelques temps plus tard, je découvrais le test de Steve Huff, lui aussi faisait une comparaison entre ces deux appareils. Cela me semblait étonnant que l'on puisse comparer sérieusement ces deux appareils qui ne jouent pas dans la même catégorie. J'ai ensuite découverts que beaucoup de photographes testant les appareils dans la vie réelle, et pas dans des labos, et jugeant les résultats sur les tirages faisaient le même constat : le GF1 peut être comparé à un Leica M. Faites une recherche sur Google avec les mots clefs "Panasonic GF1 Leica M9". Lisez les papiers que le moteur de recherche aura trouvés et faite vous votre idée. J'ai ensuite trouvé le papier de David Babsky, Leica M9.5 - The small but excellent Panasonic GF1. Même si ce dernier papier est plus axé sur l'avantage qu'il y a à utiliser les optiques Leica sur le GF1, toutes ces contributions m'ont fait me poser un certain nombres de questions.
Les réponses que j'ai fini par y apporter ont été en grande partie exposées dans les lignes qui précèdent et vous aurez compris qu'elles sont positive. Pour moi, le Panasonic GF1 est un vrai Leica, qui plus est il est le Leica que Leica aurait du sortir lorsque Leica à sorti le X1. Il y a une longue histoire de partenariat entre Leica et Panasonic et je regrette que cela n'ai pas été le cas avec cet appareil.
Le Panasonic GF1 est, pour moi et ma manière de photographier, l'appareil qui équivaut aujourd'hui à l'apparition de Leica en 1932. L'ultime appareil que l'on peut réellement avoir toujours avec soi et qui permet des photos de grande qualité. L'offre objectifs commence à être complète et de qualité. Mis à part ce que je développe plus bas sur mes souhait d'amélioration, je crois que j'ai trouvé mon appareil idéal.
Divagation ou réflexion sur le choix d'un appareil
COMMENT J'UTILISE LE GF1
J'aime particulièrement l'article de Thorsten Overgaard My Leica M9 best practice dans lequel il décrit, entre autres, sa façon de photographier avec une seule variable. Elle est très proche de la mienne, ou l'a-t-elle influencée, ou confortée. Je vous laisserais juge...
Je travaille le plus souvent, toujours depuis que j'ai acquis le 25 mm (équivalent 50 mm) focale 1.4, en priorité ouverture. Et le plus souvent à l'ouverture maximale. De temps à autres je me règle sur une ouverture de 4 pour certains paysages ou 8 lorsque je cherche à travailler en hyperfocale (mon objectif permet la mise au point mannuelle, ce qui est d'une grande aide dans ce cas). Tout le reste du temps je suis à 1.4. Ensuite, je règle la sensibilité en fonction des circonstances, 100 ou 160 ISO en extérieur, 360 ou 640 ISO en intérieur et 1250 ISO de nuit. Une petite remarque, si j'en crois les tests effectués par DP Review sur le GF1, les ISO sont légèrement décalés. Ce qui signifie qu'un règlage sur 160 correspond à 200 ISO réel, 360 à 400, 640 à 800 et 1250 à 1600. Etant attaché aux ancienne gradations ronde, c'est la raison pour laquelle j'utilise des gradations intermédiaire sur cet appareil. La vitesse étant alors déterminée par l'appareil.
Je sais bien que tous les tests d'objectifs indiquent que leurs performances dans les angles sont meilleurs si on ferme l'ouverture de quelques crans. Cela m'indiffère. Beaucoup de photographes utilisent le vignettage pour amener le spectateur à entrer dans la photo vers le sujet, vers ce qu'il a envie de montrer. L'éventuelle perte de qualité sur les bords abouti au même résultat, le sujet n'est pas à l'extrémité du bord de l'image. Si j'ai acheté un objectif ouvrant à 1.4, c'est pour utiliser les caractéristiques de la focale 1.4 en terme de profondeur de champs.
Je travail toujours en RAW + Jpeg fin très souvent avec une compensation d'exposition de moins 1/3. Je traite ensuite le RAW dans LightZone. Règlage de l'exposition, application d'un filtre jaune pour le passage en noir et blanc, puis utilisation de la fonction Relight pour un règlage précis des ombres et des hautes lumières et le règlage du masque de contraste. Ensuite, le ZoneMapper qui est l'équivalent des courbes, et une accentuation de contraste local.
Divagation ou réflexion sur le choix d'un appareil
LES AMELIORATIONS QUE JE SOUHAITERAIS
Je n'aime pas viser sur un écran, même si cela permet de voir ce qui se passe en dehors du cadre un peu comme le viseur télémétrique à cadres de collimation, j'utilise donc le viseur électronique optionnel. Hélas, il est assez étroit, surtout pour un porteur de lunettes comme moi, très protubérant ce qui fait perdre une bonne partie de l'avantage de la compacité du boitier lorsque je le range et le sort de mon sac, et il se place sur la prise du flash externe au centre du boitier ce qui me gène beaucoup parce que je vise avec l'oeil gauche. Mon souhait le plus cher serait que le viseur soit intégré dans l'angle en haut à gauche du boitier, a la place du flash, comme sur le Fuji X100 ou le vénérable Leica Digilux 2. Et pourquoi pas en rehaussant un peu le boitier ce qui lui donnerait une "gueule" de Leica !
La seconde amélioration serait de mettre dans ce boitier le capteur du Panasonic G2 qui présente un peu plus de surface ce qui permet de switcher entre le format 4/3 et le 3/2 sans perdre de résolution. Lorsque la largeur est diminuée, la hauteur est augmentée, ce qui n'est pas le cas sur le GF1 où la différence entre le 4/3 et le 3/2 se fait uniquement par la variation de la hauteur, donc une perte de la surface comme un recadrage en post-production.
A part cela je ne vois pas d'autres chose à améliorer, ce qui fait que je ne suis pas du tout intéressé par les modèles qui ont suivits le GF1, les GF2 et GF3, qui, comme le disent les anglo-saxon, ne sont pas des upgrades du GF1, mais des downgrades. Comme d'autre j'ai envie de dire à Leica, reprenez votre partenariat avec Panasonic et adaptez le GF1 pour en faire un magnifique petit Leica à objectifs interchangeables qui remplacerait avantageusement le X1.
Divagation ou réflexion sur le choix d'un appareil
CONCLUSION
Alors... Je n'achèterais pas le M8.2.
Je garde le Panasonic GF1 et je le considère comme un petit Leica, le Leica du pauvre, juste pour le plaisir. ;-)
Complément
J'ai oublié de parler de deux papiers que je trouve particulièrement intéressants de Jim Radcliffe. L'un sur le Leica M8, l'autre sur le Panasonic GF1. Jim a longtemps rèvé d'un Leica et a fini par s'acheter un M8 d'occasion, qu'il a revendu au bout d'un an pour s'offrir un GF1. Ses conclusion sont particulièrements intéressantes.
01 octobre 2011
Arbuste
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Coucher de soleil
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